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Le mural s'étend sur toute la superficie du passage et met en scène les figures de la culture irlandaise.

Pour le 500ème article, un portrait de Sinnead O'Connor qui fait partie d'un grand mural situé dans le passage qui mène à la cour fermée qui abrite les peintures vues dans les articles précédents.

Dernière peinture de l'ensemble qui reprend des images et des symboles de Belfast comme par exemple l'hôtel Europa que l'IRA a fait exploser plusieurs fois pendant la périodes des "Troubles".

Un autre élément de cette ensemble de peintures qui ornent cette cour fermée.

Dans le même espace, juste à côté du précédent panneau.

Dans la continuité du travail commencé dans cette venelle qui abrite le Duke of York, Pub connu pour ses sessions de musique irlandaise (voir les articles 373 à 376. Lien ci-dessous).

Au-delà des graffitis, les murals dissidents sont rares. Ils permettent de donner une indication sur leur influence dans certains quartiers.

Un peu plus bas dans la rue un nouveau mémorial aux combattants du quartier.

Un peu plus bas dans la rue, un mural en l'honneur d'une fanfare républicaine qui porte le nom de deux républicains locaux.

Retour à Belfast avec de nouvelles peintures murales sur des thèmes récurrents dans ce quartier du nord de Belfast (voir lien ci-dessous).

Dans la même rue, un panneau revendiquant la libération de prisonniers loyalistes et faisant un jeu de mot sur les acronymes : Police Service of Northern Ireland et Irish Republican Army = PSNIRA.

Sur ce mur, il y avait précédemment un hommage à Guillaume d'Orange. Un bond dans l'histoire et c'est l'armée britannique combattant en Afghanistan qui est célébrée.

Cette nouvelle peinture célèbre la formation de l'Ulster Defence Union, le 17 mars 1893 dont le but était de contrer la tentative d'introduire une seconde loi de Home Rule au parlement britannique. Le Home Rule aurait dévolu des pouvoirs exécutifs aux irlandais.

Le portrait de l'un des signataires, le Colonel Edward Saunderson est reproduit sur le mural.

Un peu à l'extérieur de ce quartier, un mural que de mauvaises conditions météo n'avait pas permis de voir terminé, à l'été 2011.

Dans le même quartier, les peintures murales militaristes sont repeintes régulièrement et ne sont pas près d'être remplacées.

Dans ce quartier de Carrickfergus qui de longue date a abrité de nombreuses peintures murales, il est notable de constater qu'une tentative de recourir au panneau en plastique a fait long feu et le mur a été repeint avec pratiquement les mêmes éléments. Le panneau avait été installé en 2011.

Un hommage à la 36ème Division d'Ulster qui en remplace un autre (voir lien ci-dessous). Sur le fond du paysage, on retrouve le mémorial de Thiepval dans la Somme : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9morial_de_Thiepval

Dans la même rue, un mural en mémoire du passé ouvrier de ce quartier tout près des docks de Belfast.

Rares sont les murals qui relatent le blitz subi par les habitants de Belfast pendant la seconde guerre mondiale. La présence des chantiers navals et du port à proximité de ce quartier justifie que la mémoire soit entretenue.

En face de Spier's Place, d'autres panneaux qui célèbrent la loyauté à la couronne d'Angleterre en la personne de la reine Elizabeth.

Sous le panneau précédent, des panneaux de plus petites tailles qui renseignent sur les protagonistes et les enjeux de cette période.

Ce panneau en remplace un autre qui avait été accroché à l'occasion du centenaire de la journée internationale des femmes mais qui n'avait pas fait l'unanimité dans le quartier (voir lien ci-dessous). Il a été déplacé sur le peace wall qui sépare Shankill de Falls sur Cupar Way.

Il commémore le centième anniversaire de la signature du pacte d'Ulster qui visait à s'opposer au Home Rule.

Avant de découvrir les nouveautés de ce grand quartier loyaliste de l'ouest de Belfast, voici des murals qui perdurent malgré la volonté du gouvernement et de la ville de Belfast d'éradiquer les images de violence.

Les conditions de vie des prisonniers politiques dans les prisons nord-irlandaises n'ont toujours pas atteint la normalité espérée et malgré des accords datant d'août 2010, le sujet reste d'actualité.